O tempora, o mores !

Les temps changent, me suis-je dit à la lecture d’une double page de publicité dans L’Observateur de l’OCDE. On pouvait en effet y découvrir une publicité pour Airbus, qui ne vantait pas le nombre de passagers transportés, la vitesse pour joindre Paris et New York, la sécurité, mais mettait en avant l’environnement ! Les chiffres avançaient démontraient l’attachement de la compagnie à faire des avions utilisant moins de kérosène et étant moins bruyant. Le grand argument étant que plus on transporte de passagers par vol, moins on pollue (par passager évidemment). Et Airbus n’est pas seule à vanter son bon comportement, puisque Boeing veut aussi se profiler comme un premier de classe. A croire que les compagnies prévoient déjà une application drastique à venir du principe pollueur-payeur !